LES POINTS à RETENIR
— Julian est né en plein cœur de Londres dans une famille des plus aisés. Dès ses premières secondes de vie il a été enroulé dans de la laine d’alpaga et ses hochets étaient faits de l’argent le plus pur du marché.
— Ses parents ont toujours faits attention à ce qu’il soit le plus comblé des enfants et qu’il mène une vie des plus confortables.
— Fils unique, il a toujours eu du mal à s’intégrer auprès des autres enfants et restait la plupart du temps seul avec ses jouets luxueux. Petit, il aimait s’imaginer des mondes improbables où il vivait des aventures trépidantes et passait ses journées à tuer du dragon.
— Malgré son jeune âge, Julian a toujours été un garçon très mature qui se montrait parfois capable de participer aux échanges philosophiques qu’entretenaient ses parents.
— Julian aimait passer ses journées dans l’atelier de son grand-père horloger. Là-bas il y apprenait toutes sortes de choses et c’est grâce à son grand-père qu’il a développé une véritable passion pour le bricolage et les machines.
— Il cachait souvent des objets en cours de fabrication et des engrenages sous son lit car sa mère détestait ça. Elle trouvait toujours qu’il avait mieux à faire comme s’entrainer à l’apprentissage des langues.
— Sa mère faisait parti d’un célèbre salon littéraire tandis que son père était un philosophe de renom. Cependant, ce dernier était aussi corrompu par l’argent et investissait souvent dans des affaires des plus douteuses. En grandissant, Julian l’a découvert mais en éternel égoïste il le garda pour lui et n’en parla jamais à personne.
— Vers ses douze ans, il fut pris en plein milieu d’un incendie dans la boutique de son grand-père. S’il ne récolta qu’une cicatrice grâce à son père, son grand-père lui perdit la vie dans ce terrible accident. Julian ne s’est jamais remis de sa mort et depuis ce jour il garde toujours auprès de lui la boussole que son grand-père lui avait fabriqué.
— Plus les années passaient et plus Julian commençait à ressembler à son père. Eux qui pourtant avaient cessé de se supporter depuis la mort du grand-père. Sa vie luxueuse l’avait poussé à devenir une autre personne. L’argent et la démesure venaient rythmer ses journées. Habitué des maisons closes et des salons de philosophe, il pensait pouvoir tout avoir avec l’argent de ses parents et ne se gênait pas pour s’autoproclamer roi du monde, le tout une bouteille de vin à la main.
— Ce sont ses parents qu’ils lui ont trouvé une épouse. De bonne famille et intelligente, Julian ne connaissait même pas son prénom avant de la rencontrer. Il n’était jamais parvenu à l’aimer et se fichait pas mal de son existence.
— Mais Julian se rendit bien vite compte de quel type de personne il était. Alors il changea radicalement de mode de vie. Oubliant les jeux d’argent, la luxure et les débats philosophiques inutiles. Il décida de se trouver un métier et de vivre indépendamment de ses parents.
— Ce fut à ses vingt-quatre ans qu’il décida de vivre de sa passion pour l’ailleurs en devenant cartographe. Son métier le poussant à voyager beaucoup, il a vu un grand nombre de ses relations disparaître et n’a désormais presque plus personne dans son entourage.
Le test rp
la belle citationQuis enim aut eum diligat quem metuat, aut eum a quo se metui putet? Coluntur tamen simulatione dumtaxat ad tempus. Quod si forte, ut fit plerumque, ceciderunt, tum intellegitur quam fuerint inopes amicorum. Quod Tarquinium dixisse ferunt, tum exsulantem se intellexisse quos fidos amicos habuisset, quos infidos, cum iam neutris gratiam referre posset.
Pandente itaque viam fatorum sorte tristissima, qua praestitutum erat eum vita et imperio spoliari, itineribus interiectis permutatione iumentorum emensis venit Petobionem oppidum Noricorum, ubi reseratae sunt insidiarum latebrae omnes, et Barbatio repente apparuit comes, qui sub eo domesticis praefuit, cum Apodemio agente in rebus milites ducens, quos beneficiis suis oppigneratos elegerat imperator certus nec praemiis nec miseratione ulla posse deflecti.
Et quoniam mirari posse quosdam peregrinos existimo haec lecturos forsitan, si contigerit, quamobrem cum oratio ad ea monstranda deflexerit quae Romae gererentur, nihil praeter seditiones narratur et tabernas et vilitates harum similis alias, summatim causas perstringam nusquam a veritate sponte propria digressurus.
Dum haec in oriente aguntur, Arelate hiemem agens Constantius post theatralis ludos atque circenses ambitioso editos apparatu diem sextum idus Octobres, qui imperii eius annum tricensimum terminabat, insolentiae pondera gravius librans, siquid dubium deferebatur aut falsum, pro liquido accipiens et conperto, inter alia excarnificatum Gerontium Magnentianae comitem partis exulari maerore multavit.
Post hoc impie perpetratum quod in aliis quoque iam timebatur, tamquam licentia crudelitati indulta per suspicionum nebulas aestimati quidam noxii damnabantur. quorum pars necati, alii puniti bonorum multatione actique laribus suis extorres nullo sibi relicto praeter querelas et lacrimas, stipe conlaticia victitabant, et civili iustoque imperio ad voluntatem converso cruentam, claudebantur opulentae domus et clarae.